| Sujet: Ishikawa Norio fifiche Jeu 21 Oct - 22:53 | |
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| Ishikawa Norio Âge ▬ 20 ans Niveau d'études ▬ 2ème cycle Filière ▬ Arts & Lettres Sexualité ▬ Bisexuel Habitat ▬ Un appartement
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Comment je suis ... ?
Caractère ▬ Norio est un rebelle de la life. Enfin, c'est comme cela qu'il se décrit en riant car, s'il est vrai qu'il s'habille haut en couleur et que son goût pour l'aventure l'amène souvent à faire des choses étranges, le jeune homme a tout de même assez de valeurs et de neurones pour ne pas tomber dans la déchéance et le ridicule de ceux qui veulent à tout prix se démarquer de la société. En plus clair, il ne se comporte pas ou ne s'habille pas d'une telle ou telle façon pour prouver quelque chose au reste du monde, non, il reste juste lui-même en toute circonstance et peu lui importe ce que peuvent bien dire les langues de p... de vipère dans son dos. Enfin si, ça le touche même s'il ne le montre pas, car il est quelqu'un d'extrêmement sensible et instable émotionnellement. Passant du sociable à l'asociabilité totale, du rire aux larmes et du sourire à un air renfrogné des moins engageant, Norio ne peut pas en vouloir à ses amis qui ont parfois du mal à supporter ses sautes d'humeur intempestives, qui le rendent aussi accessible qu'une forteresse et aussi aimable qu'un vigile chez Auchan [comment ça il y a pas Auchan au Japon ? e.e]. Enfin bref, dans ces cas là il vaut mieux le laisser seul avec un petit fagot de carottes-qui-rendent-les-fesses-roses (et accessoirement aimable), à noter que le petit fagot de carottes est facultatif, surtout si vous ne désirez pas pratiquer la pénétration par carotte avec un Norio en colère. En dehors de son côté trop dark, il est quelqu'un qui aime beaucoup rire et qui peut partir rapidement dans des délires qu'il est bien souvent le seul à suivre, mais bon, il a tellement l'habitude de se prendre l'affiche qu'il le vit bien à présent. Il peut être très câlin quand l'envie lui prend, et surtout avoir des réactions très enthousiastes qui peuvent surprendre. En tout cas, le jeune homme n'est jamais bien bavard, préférant toujours écouter les autres (ou écouter sa musique, et c'est ainsi qu'il aime à regarder la bouche de ses amis s'ouvrir et se refermer dans le vide, tandis qu'il hoche quelques fois la tête pour faire style qu'il écoute) - ce qui fait de lui un excellent confident (oupas) - et, mis à part lorsqu'il sombre dans ses délires douteux, n'ouvre la bouche que pour dire le nécessaire, c'est à dire ses coups de gueules et ce qu'il pense. Cependant il ne s'aventure pas trop à dire oralement le fond de sa pensée, ayant des difficultés à s'exprimer sans trébucher sur des mots pourtant simples et à argumenter sans hausser le ton trop rapidement. Petits plus en vrac : dès qu'il peut aider quelqu'un, il le fait sans hésitation ; il est feignant et est un procrastinateur en puissance ; il est tellement bordélique que, lorsqu'on marche dans sa chambre, on peut entendre quelque chose se casser sous 15 centimètres de livres, vêtements et paquets de gâteaux sans savoir de quoi il s'agit. Style Vestimentaire ▬ Il y a des mecs qui s'habillent en wesh wesh de la téci, mettent des survet' 7/7, ou bien trouvent trop sex' de montrer leur petite culotte en ayant leur jean au niveau des genoux, d'autres adoptent le look "skateur" avec une petite coupe à la Justin Bibeurre... Mais Norio n'est rien de tout ça, non, lui il incarne la perfection : il est EMO. *deux petites secondes de silence* C'était une blague. MWAHAHAHA *se prend une volée de tomates pourries dans la tronche*. Considérant que chaque être est unique, Norio refuse de se laisser classifier dans les stéréotypes vestimentaires, de gens qui agissent comme des moutons en pensant sincèrement se démarquer des autres. Le jeune homme met ce qui lui plait, un point c'est tout. "Toi, j'aime ta coupe, tes couleurs et ton tissu. Tu es à moi 8D". Il a une passion sans limite pour les chemises, les vestes et les écharpes. Il en a de toutes les sortes dans son armoire (et sur le sol de la chambre aussi) et les assorti le plus souvent avec des jeans simples, voire quelques slims en jeans ou colorés qui mettent bien en valeur ses longues jambes et son joli p'tit cul (il faut bien dire ce qu'il en est réellement !). Goûts ▬ Hmm... Norio n'aime pas vraiment les lieux où il y a beaucoup de monde. Les boites, fêtes, festivals, tout ça, ça le fait vraiment déprimer, tout comme les jours de fêtes nationale qui sont tout de même excessivement nombreux au Japon. Il aime les petites soirées entre amis, là où il peut parler à tout le monde sans avoir à se déplacer de groupes en groupes pour dire bonsoir ; les musées ; les bibliothèques; ... On peut penser que Norio est un sacré rabat-joie qui ne sait pas s'amuser, pourtant c'est tout le contraire, c'est juste qu'il éprouve plus de fun entouré de sa petite bande de potes, plutôt que serré contre une foule de gens qu'il ne connait ni d'Eve ni d'Adam. En parlant de Ni d'Eve ni d'Adam (il aime bien Amelie Nothomb, qu'il trouve unique et délirante dans son genre), venons en aux livres. Norio étant dans la fillière "Arts&Lettres", c'est tout de même un thème qu'on ne peut pas se permettre d'oublier '-' Il lit à peu près tout, surtout lorsque la quatrième de couverture annonce une intrigue complètement déjantée, mais est totalement rebuté par la Science-Fiction. Murakami Ryû, Emile Zola et Natsume Sôseki sont incontestablement ses auteurs favoris, même s'il n'a pas lu toutes leurs œuvres, c'est en les lisant eux qu'il prend le plus de plaisir. Côté musique, Norio écoute un peu de tout aussi, du moment que la mélodie lui plait peu lui importe le genre. Il a tout de même une préférence pour les chansons dont il ne comprend pas les paroles (Pop coréenne dont il ne comprend qu'un mot toutes les cinq phrases, et chansons en anglais, quoiqu'un peu moins depuis qu'il a fait des progrès fulgurants dans cette langue), car il est souvent déçu par le ridicule de celles-ci (il ne va donc jamais voir les traductions sur le net). Lorsqu'il est seul à son appartement (c'est à dire tout le temps depuis que Mei est partie), celui-ci ne tarde pas à se transformer en véritable salle de concert. Les écouteurs sur les oreilles, plus rien ne peut arrêter Norio - pas même les coups de balai au plafond de la voisine d'en bas, qu'il n'entend même pas. Autres ▬ Norio est un grand fan de piercings. S'il n'était pas aussi raisonnable, il en aurait probablement déjà une dizaine, voir plus. Pour le moment il a réussi à s'arrêter à un piercing à langue et au téton gauche, plus un écarteur à chaque oreille. Il a aussi très envie de se faire piercer à la nuque, mais par manque de temps il ne l'a toujours pas fait. Un jour peut-être ! + Il aime bien se dessiner sur les bras pendant les cours, ainsi qu'arracher les fourches des gens à proximité de lui (il fait une fixette sur les fourches. Que ce soit les siennes ou non, il ne peut être satisfait tant qu'il en voit encore qui le narguent).
Un peu de ma vie ...
Date et lieu de naissance ▬ Le 21 Octobre 1990 à Tokyo
Famille ▬ Monsieur et Madame Ishikawa, ses parents adoptifs ; Park Seung Jo son faux jumeau élevé en Corée du Sud, qu'il n'a jamais rencontré et dont il n'a appris que récemment l'existence (et dont il ne connait même pas le nom xD).
Relations ▬ Park Seung Jo Son frère (faux) jumeau qu'il ne connait pas encore '-' (petites explications : il a été abandonné dans un orphelinat par leur mère puis adopté par un couple de coréens et élevé en Corée du Sud par leurs bon soins).
Biographie ▬ Norio a été adopté par les Ishikawa, à Tokyo, quelques jours après sa naissance, sa mère biologique japonaise menant une vide de débauche et ayant manifestement autre chose à faire qu'à s'occuper d'un gosse, aussi calme et silencieux fut l'adorable bébé. Norio ne s'est jamais douté de cette adoption et a eu une enfance des plus heureuse, avec deux parents aimants qui firent en sorte que leur petit bout de chou ne manque jamais de rien, que ce soit d'amour, de tendresse ou de livres qu'il se mit à dévorer dès qu'il su lire quelques kanji.
Ce n'est qu'à ses dix-huit ans qu'il appris qu'il avait été adopté, une fois que, énervé par ses amis qui lui disaient qu'il ne ressemblait à aucun de ses parents, il avait décidé de poser la question directement à ces derniers, juste pour prouver à ses amis qu'ils se faisaient des films. Et bien manque de chance, ce n'étaient pas des illusions et le pauvre Norio a eu l'impression d'une douche glacée en apprenant la nouvelle. Imaginez que vous ayez vécu pendant dix-huit ans une existence basée sur un "mensonge", une vérité cachée. Forcément, on ressent d'abord de la colère envers ceux qui se sont fait passés pour nos parents pendant toutes ces années, et puis la tristesse nous accable, suivie par une tornade de questions sur nos véritables origines. C'est cela même qu'à ressenti Norio et, même si sa fureur envers ses parents adoptifs s'est apaisée, il n'en restait pas moins qu'il y avait trop de questions sans réponses et que, même s'il savait désormais le nom de sa mère, un nom ne le satisfaisait pas assez. Les Ishikawa engagèrent donc un détective et en creusant un peu, ils ne tardèrent pas à découvrir que la mère de Norio était décédée d'une overdose quelques années plus tôt. Et quant à son père... aucun moyen de découvrir de qui il s'agissait.
Le jeune homme se résigna et repris ses études en Arts & Littérature, répondant à une annonce de collocation et aménageant quelques jours plus tard dans l'appartement... à Sendai. Il s'est tout de suite entendu à merveille avec sa colocataire, tellement bien qu'ils ont fini par sortir ensemble. Elle était tout pour lui, son premier amour, tout. Mais apparemment elle devait avoir des crottes de lapin dans les yeux, car elle mit fin à leur relation au bout d'un an pour déménager chez un autre type. Encore un coup dur pour notre petit Norio qui a déprimé un bon bout de temps, seul dans l'appartement désormais sien, avant de tomber, au détour d'un couloir de Tohodai, sur l'affiche annonçant l'arrivée d'étudiants coréens qui, pour beaucoup, n'avaient pas encore d'endroit où se loger. Norio s'est donc précipité pour s'inscrire, en pensant qu'un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal, même s'il est vraiment une quiche en coréen et qu'il ne comprend pour ainsi dire rien. Comme si le bon dieu avait décidé de remuer sa vie ce jour-là, le jeune homme reçu dans la soirée un appel de ses parents lui annonçant qu'il aurait un (faux) jumeau adopté en Corée du Sud. Il ne sait même pas son nom, mais l'arrivée de Park Seung Jo à Tohodai pourrait bien chambouler un peu plus sa vie... niark niark *W*
Derrière l'écran ...
Pseudo ▬ Pocky
Comment avez-vous connu le forum? ▬ Fonda'pigeon :B *j'ai toujours rêvé de dire ça, me tape pas Mina é_è*
Fréquence de connexion ▬ 7/7, moins souvent pour les RP~
Avatar ▬ Song Seung Hyun !
Niveau rp ▬
- Spoiler:
A la fraise, à la pomme, à la poire, à la banane, au chocolat ! Non, Heichiro ne se trouvait pas sur la plage en train de regarder passer d’un air paresseux le vendeur de beignets, mais dans un petit combini qu’il avait choisit pour sa tranquillité afin de choisir, loin des regards indiscrets… des préservatifs. Eh oui, la boîte qui avait été prévue pour le voyage avait été épuisée, devinez avec qui. Il faut dire qu’il n’avait pas pu prévoir que leurs vacances se verraient prolongées, sinon il se serait bien épargné cette gêne qu’il ressentait à cet instant, seul devant un rayon qui lui semblait gigantesque pour un petit commerce comme celui-ci. Les habitants de Naha baisaient-ils comme des lapins pour qu’il y ait une telle réserve dans un seul combini ? Le jeune homme soupira. Trop de choix tue le choix, il y en avait même goût Milkshake Banane, diabolo menthe et grenadine. Après le beignet c’était donc la boisson au choix. Arf. De toute façon, ils n’utilisaient pas la capote pour le sexe oral, uniquement pour la pénétration, alors à quoi bon s’arracher les cheveux devant des dizaines de goûts différents alors qu’il n’en avait pas besoin ? Heichiro était vraiment du genre à se compliquer la vie pour rien parfois.
Il fit un pas de côté pour quitter l’emplacement des goûts et saveurs et se retrouver… devant des préservatifs phosphorescents. Allons bon. Il s’imagina jouer un remake de Star Wars avec le sexe lumineux de Shintaro et se dit que non, il s’en passerait bien. Plus bas, des assortiments de protections colorées s’alignaient sagement dans leur rangée, « Cet ensemble de préservatifs vous apportera un peu de fun auprès de votre partenaire » qu’ils disaient, non mais franchement c’était juste le meilleur moyen d’avoir l’air con ! Un autre pas de côté et il fit face à des produits un peu plus normaux, du moins en apparence, ce qui le rassura quand même un peu. Cela commençait à lui peser sérieusement de rester planter dans ce rayon, exposé à la vue de toute mamie venant faire sa ration de fromage pour la semaine (d’ailleurs pourquoi avaient-ils mis le rayon fromagerie en face de celui des préservatifs ? Ça n’avait vraiment aucun sens…). Ses yeux parcoururent rapidement les marchandises. Le jeune homme n’allait tout de même pas en choisir des spéciaux pour la sodomie, d’une le vendeur le regarderait d’un air bizarre lorsqu’il passerait à la caisse, pareillement si ses potes tombaient sur la boîte, et puis son petit-ami non-officiel allait encore lui reprocher d’en prendre des trop épais parce que ça lui enlevait de son propre plaisir (Mais il pouvait pas les choisir lui-même si ça ne lui convenait pas ? Flûte alors !). Mais il ne pouvait quand même pas prendre des préservatifs trop fins, sinon ça allait craquer, peu importe la dose de lubrifiant. Mon dieu, quel dilemme. D’ailleurs, en parlant de lubrifiants… AH NAN ! Déjà qu’il ne savait pas quelle protection choisir, alors il n’allait pas en plus se fourrer dans des comparaisons interminables entre toutes les vertus imaginables et possibles des flacons qui s’étendaient à perte de vue à sa droite. Il devait d’abord se décider pour une boîte de capotes. Son regard se remplit d’étoiles alors qu’il se posait sur la boîte de luxe, évidemment. « Le préservatif Haute-Couture lové dans son étui en satin précieux » oh, le rêve ! Oui, mais en fait non. Déjà que Shin avait du mal à supporter ses manières de riche, s’il se ramenait avec des capotes de star de cinéma pour sûr qu’il les lui ferait bouffer.
Soupirant, il ferma les yeux et leva son index droit devant lui pour pointer un des boîtiers au hasard. Le chuchpenche était à son comble, le jeune homme ouvrit un œil hésitant pour lire « Préservatifs féminin ». Eh merde. Il se mit à piétiner sur place tellement il en avait marre, encore un peu et il se mettait à hurler de désespoir. La capote charmante n’existait donc pas ? Que de désillusions pour le pauvre Heichiro qui se disait qu’il n’avait plus qu’à aller acheter du fromage au rayon d’en face. C’est alors que ses yeux se posèrent sur « le préservatif idéal pour une sexualité tout terrain », ‘tout terrain’ lui assurant une parfaite adaptation avec son petit derrière fragile.
- Tu sais que je t’aime toi ? Déclara-t’il en dévorant des yeux la boîte qu’il venait de prendre de son étagère.
N’importe qui aurait pu le prendre pour un pauvre fou, lui qui faisait une déclaration passionnée à sa boîte de préservatifs chérie dont il s’était langui. Mais il n’y avait personne et le jeune homme en aurait presque ronronné en câlinant l’objet précieux et sacré qu’il tenait avec précaution entre ses mains. Il pouvait à présent vivre heureux et en toute impunité en enchainant rapport sur rapport avec son Shintaro d’amour (car en effet si Heichi était un grand timide, il avait tout de même une libido assez importante à satisfaire), enfin… Il n‘y avait que douze protections. Arf. Il n‘allait tout de même pas en prendre deux boîtes, il allait passer pour un gros lapin -même si ce n’était pas faux non plus-. Bah, il repasserait en acheter en cas de besoin, c’était inutile de se casser encore plus la tête. Il s’apprêtait donc à se diriger d’un pas sautillant vers la caisse, oubliant le lubrifiant au passage, lorsque l’alarme du combini retentit. Quelques secondes plus tard et la voix du caissier se mettait elle aussi à résonner dans le petit magasin, faisant hausser un sourcil à Heichiro qui ne comprenait pas tout ce qui était dit, le propriétaire s’énervant dans le jargon d’Okinawa contre… Une petite voix qui lui semblait paniquée et qui était presque recouverte par celle du caissier. Curieux, sa boîte de préservatifs toujours à la main, il traversa la jungle des rayons pour apercevoir enfin l’entrée du combini. Le vendeur était rouge de colère et le jeune homme en face de lui… C’était pas un des correspondants Coréens ? A en juger par son adorable accent : si. Heichiro le dévisagea un instant : le pauvre garçon avait l’air complètement perdu, il ne devait pas comprendre grand-chose aux hurlements de son vis-à-vis qui l‘accusait de vol avec indignation et tenant un objet dans sa main droite, et puis il avait tellement sincère et désespéré en se défendant…
- Ano… Sumimasen !
Le vendeur se retourna vers le Japonais en redevant calme et répondit d’une voix mielleuse à son client potentiel :
- Oui, que puis-je faire pour vous aider ? - Cette marque de préservatifs, vous ne l’auriez pas une taille en dessus par hasard ? Demanda le jeune homme d’un air innocent et poli. - Ah euh bien sûr, attendez je vais vous cherchez ça, lui dit l’autre en prenant la boîte, surveillez ce garçon en attendant, c’est un sale voleur !
Heichiro attendit qu’il ait disparu dans les méandres des rayons avant de se tourner vers le Coréen, le saisir par la main et le tirer à l’extérieur du combini à sa suite. Ils coururent un bon moment dans le dédale des rues de Naha avant de s’arrêter, essoufflés.
- Ça va ? Demanda le Japonais en se retournant vers le correspondant.
Dernière édition par Ishikawa Norio le Dim 24 Oct - 18:35, édité 11 fois |
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