| Sujet: Park Yoo Him [U.C] Mar 5 Oct - 19:02 | |
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| Park Yoo Him Âge ▬ 22 ans Niveau d'études ▬ 3ème Cycle Filière ▬ Arts et Lettres Fraternité ▬ Sexualité ▬ Hétéro Habitat ▬ Appartement en colocation avec Choi Min Rin.
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Comment je suis ... ?
Caractère ▬ Mes parents vous diront sans doute que je suis impétueux, rebelle, mais surtout ingrat. Que puis-je vous répondre à cela ? Que selon le point de vue c’est sans doute le cas. Personnellement, je me décris plus comme quelqu’un de déterminé, je sais ce que je veux, et je me bats jusqu’à l’obtenir. Ce trait de caractère ne fait pas de moi une personne désagréable à côtoyer, du moins je pense. Certes, je ne suis pas bavard de prime abord, mais ça ne fait pas de moi une personne renfermée, c’est plutôt l’inverse, le fait que je parle peu vient surtout que l’on m’a inculqué de ne pas parler pour ne rien dire, ce que j’applique toujours au jour d’aujourd’hui. Je suis issu d’une famille très aisée, cela ne fait pourtant pas de moi un frimeur, je n’abuse et ne montre pas mon aisance financière, je n’en ai aucune fierté vu qu’elle vient de mes parents, et non de moi. J’ai tendance à réfléchir beaucoup, à rêvasser aussi, j’ai souvent été seul dans mon enfance, mes géniteurs n’étant pas là, je me suis donc tenu compagnie en lisant, en pensant, et en observant. J’aime observer autour de moi, les gens, les lieux, les objets, car toute chose a une histoire que j’aime à deviner ou à inventer. Ce que je fais au détour d’un cliché, ou d’une petite nouvelle écrite rapidement lors d’une nuit d’insomnie. Ce côté de ma personnalité m’a malheureusement donné une sorte de sentiment de supériorité, j’ai tendance à ne pas comprendre, et à juger un peu rapidement ceux qui « ne pensent pas », mais il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, je revois souvent mon jugement sur les gens. Mon autre défaut serait sans doute que mes parents n’ayant pas souvent été là, ils ont, par culpabilité, toujours acquiescé à n’importe quelle demande que je faisais (enfin presque), j’ai donc une légère tendance à être parfois capricieux et colérique lorsque je n’obtiens pas ce que je veux avec facilité.
Style Vestimentaire ▬ J’aime les vêtements et les vêtements me le rendent bien. Bien que je ne passe pas mon temps devant le miroir, j’aime à avoir un look soigné. Du jean au Slim pour mettre en valeur mes longues jambes, du sweat délibérément un peu trop large aux débardeurs, du gilet sans manche à la veste en cuir. J’ai un peu de tout dans mon armoire, sans le savoir réellement je parais parfois sorti d’un magasine pour grande ligne de vêtements pour homme parisien.
Goûts ▬ J'aime me balader et photographier pendant des heures sans voir le temps passer, rester chez moi et écrire ou lire, mais j'aime sortir aussi avec mes amis, découvrir le Japon un peu plus tous les jours. En fait je pars du principe où j'aime tout tant que je ne connais pas. J'aime manger, de tout. Les couleurs plutôt sombres, ma préférée est le pourpre. Il n'y a donc que peu de choses que je n'aime pas, la première sera mes parents, puis la distance, notamment celle qui me sépare de mes soeurs. Je n'aime pas être ignorer, je préfère ne pas être aimer de quelqu'un plutôt que lui être indifférent.
Autres ▬ Ce n'est ni une mauvaise habitude, ni une manie, juste une caractéristique particulière de mon visage : mon oeil droit se ferme (ou se plisse) beaucoup plus que le gauche lorsque je ris ou souris.
Un peu de ma vie ...
Date et lieu de naissance ▬ 18 février 1988 à Séoul
Famille ▬ Je viens d'une famille aisée, de trois enfants, je suis l'ainé, et le seul garçon. Mes petites soeurs sont des trésors à mes yeux, et je me sens responsable d'elles. Je dois les protéger, prendre soin d'elle. Elles se nomme Ahn Hae et Ahn Rin et ont respectivement 16 et 13 ans. Je regrette de ne pas savoir réellement leur montrer à quel point je tiens à elles, j'ai peur qu'elles doutent de mon affection maintenant que je suis si loin de la maison, mais d'elles surtout. Je dois avouer être extrêmement proche d'Ahn Hae, bien plus que je ne le suis avec Ahn Rin (ce qui ne m'empêche pas d'aimer notre Maknae) c'est sans doute la différence d'âge qui joue, où le fait que comme nos parents n'étaient jamais là, nous nous sommes reportés l'un sur l'autre pour grandir. Quant à mes parents, j'y suis complètement indifférent. Ils n'ont jamais été là, tout ce qu'ils m'ont offert ça a été un toit, et toute l'aisance matérielle dont on peut rêver, mais moi ce dont je rêver, c'était un mot doux, un baiser, une étreinte, mais mes parents n'ont jamais su se comporter comme telle. Il y a aussi ma grand mère, elle n'est plus malheureusement, et c'est une des douleurs et absences qui me fait le plus mal, encore maintenant alors que son décès remonte à plusieurs années. Elle m'a donné la passion de la photographie, elle m'a éduqué presque, je lui dois beaucoup, et j'essaie de la rendre fière à présent.
Relations ▬ Choi Min Rin. J'ai passé une petite annonce en fin de semestre dernier pour trouver un (ou une) nouveau colocataire. Elle a été une des premières à répondre, et j'ai tout de suite accroché avec sa personnalité que je trouve rafraîchissante. Nous venons d'un milieu assez similaire, nos histoires ayant quelques bons points communs... Bref la colocation se passe bien pour le moment, mais il faut que je fasse attention à ne pas me laisser charmer par ma colocataire, he, je ne suis qu'un homme après tout.
Biographie ▬ Je suis né en plein hiver, le froid de la saison n’a même pas été estompé par la chaleur rassurante de ma mère, à vrai dire je n’ai jamais connu cette chaleur rassurante, car quelques semaines après ma naissance on me laissait chez la nourrice pour pouvoir continuer à faire vivre la compagnie familiale. Mes parents sont à la tête d’une entreprise d’import export de textile. Ils ont été mariés au détour d’un mariage arrangé, ont eut des enfants pour pouvoir les mettre à la tête de leur compagnie et des sous filières qu’ils ont créent. Dès mes premières années je me suis révélé plutôt dégourdi, on a donc attendu énormément de ma personne dès l’enfance. Je ne comprenais pas ce que l’on voulait de moi, mais je travaillais dur à l’école, car je me disais que peut être, peut être si je travaillais bien, alors mes parents me féliciteraient enfin, ou m’embrasseraient une fois, rien qu’une fois. Cela a duré jusqu’à mes six ans, j’étais moins innocent que les enfants de mon âge, et à cet âge, je devins le grand frère, et je décidai que si mes parents ne s’occupaient pas de ma petite sœur, et bien je le ferais. J’ai donc grandi en protégeant Ahn Hae comme on protège une princesse, j’étais là pour la protéger, pour essuyer ses larmes, et essayer de la laisser être une enfant, ce que l’on m’avait refusé à moi. Nous allions souvent chez ma grand-mère, mon père ne lui parlait plus vraiment, mais nous autorisait à aller chez elle. Elle était marginale, aventurière, et Ahn Hae et moi adorions l’écouter nous parler de ses voyages, de ses rencontres et de sa passion pour la photographie. Lorsque j’avais 9 ans, Ahn Rin vint au monde, mes parents ne devinrent pas plus présents pour autant, et je continuai à m’occuper des deux bouts de choux qu’étaient mes petites sœurs, ma complicité avec Ahn Hae ne faisait que grandir, et j’apprenais à aimer la dernière née de notre famille. Elles aussi étaient victime de la pression parentale, il fallait qu’elles travaillent dur elles aussi, mais je ne voulais pas de cette vie pour elles, personne ne sait que souvent je faisais leur devoir pour qu’elles puissent profiter d’être des fillettes. Je ne suivais pas à la règle les instructions de mes parents, ce qui les mettaient dans une colère impressionnante, ils blâmaient ma pauvre grand-mère de nous mettre des absurdités en tête, elle ne faisait que nous apporter le rêve et l’amour auquel nous aurions du avoir droit naturellement, mais que l’on nous refusait. C’est ainsi que mes parents commencèrent à espacer les visites que nous pouvions lui rendre, pour au final ne la voir qu’à nos anniversaires, et Noël. L’absence de cette femme, qui, au final était notre figure maternelle, parentale, me manqua à en crever et je devins un adolescent plutôt renfermé, ne m’évadant que par l’écriture pour laquelle j’avais une réelle passion. Lorsque j’eus 14 ans, ma grand-mère m’offrit mon premier appareil photo, c’était en réalité le sien, celui qu’elle préférait, et à partir de ce moment, je commençai à me passionner pour la photo, illustrant ainsi mes nouvelles, et appréciant beaucoup plus le monde à travers un objectif, que de mon œil nu. Et je décidai aussi à cette époque, que mes passions seraient aussi ma profession, je refusais de me voir enfermé dans la société de mes parents. A partir de ce moment, les tensions entre eux et moi grandirent de façon significatives, ils tentaient même de me discriminer auprès de mes sœurs, Ahn Hae ne mordit pas à l’hameçon, mais Ahn Rin beaucoup plus jeune et influençable me regardait d’un autre œil depuis. A 18 ans, ma grand-mère nous quitta, mes parents parvinrent à m’empêcher d’assister à son enterrement, c’est je pense, la blessure la plus profonde que je porte, son absence, ce manque. Je voudrais pouvoir la revoir, lui demander pardon de ne pas avoir été là, mais elle est aussi ma force car je reste persuadé que tout ce qu’elle m’a inculqué fait de moi une meilleure personne, et je ne fais rien sans me demander ce qu’elle ferait. Je restai chez moi encore un an, un an après le lycée où je ne fis pas grand-chose à part m’occuper des affaires de ma grand-mère au grand malheur de mes parents qui voulaient me voir entrer en école de commerce, ils se dirent néanmoins qu’une fois la maison et les affaires de ma grand-mère liquidées je rentrerai dans le droit chemin, ils ignoraient juste que si j’avais fait tout ça, c’était pour garder l’argent, et partir, partir loin d’eux, m’échapper. Ce que je fis, je partis pour Tohodai, pour devenir écrivain, ou photographe ou les deux, je voulais juste partir loin de l’écrasante ambition de mes parents. Je du néanmoins m’arracher le cœur et abandonner Ahn Hae, je lui avais dit aurevoir au petit matin, je l’avais réveillé et elle avait à peine compris ce qu’il se passait, elle n’avait pas compris pourquoi j’avais pleuré en la serrant dans mes bras, et Ahn Rin encore moins. Cela fait à présent trois ans que je vis au Japon pour mes études, je ne planifie pas de rentrer en Corée, j’y retourne juste de temps en temps pour retrouver mes amis, mais surtout mes sœurs, je leur fais la surprise et les vois à la sortie de l’école, mais je sens bien qu’elles m’en veulent de les avoir abandonné à mon tour, je voudrais qu’elles sachent à quel point je m’en veux. Lorsque j’aurais atteint mes buts, je les amènerais ici, et je m’occuperais d’elles, qu’elles puissent aussi vivre leurs ambitions, et non celles de nos parents. En réalité, tout ce que je veux devenir, c’est parce que mes parents ne veulent pas que je le fasse, ma vie sera contraire à leurs attentes, du début, à la fin.
Derrière l'écran ...
Pseudo ▬ Yuu
Comment avez-vous connu le forum? ▬ Recherche de forum
Fréquence de connexion ▬ 7/7
Avatar ▬ Shim Changmin
Niveau rp ▬ - Spoiler:
La lumière qui émanait de mon ordinateur me brûlait les yeux, tant je me concentrais sur les pixel, les contrastes et la saturations des photos que j'étais actuellement en train de retoucher. Tant et si bien, que j'avais du me résoudre à mettre mes lunettes pour ne plus ressentir ce picotement désagréable aussi vivement. En quelques manœuvres habiles, je sauvegardai la nouvelle photo que je venais d'améliorer, et pressai la touche pour voir apparaître la suivante. Je souris en voyant apparaître le cliché sur lequel on pouvait voir des pâtisseries en vitrine, je souris non pas par gourmandise, mais parce que je les avais acheté un soir pour Ahn Hae et moi, nous n'avions rien à fêter en particulier, je voulais juste passer un moment "sucré" avec ma sœur.[La dire photo https://2img.net/r/ihimizer/img684/4975/tumblrky0ea5xqdx1qzeoim.jpg] Mais mon humeur changea soudain, et je poussai un soupir attristé. Ma sœur me laissait depuis quelques semaines dans un silence que je ne parvenais pas à comprendre, ni à briser. Peu importe par quel moyen je tentais de l'atteindre elle ne répondait pas, et nous ne nous croisions même pas, elle partant avant que je ne me réveille, et revenant souvent tard, et son départ en stage sportif n'avait pas arrangé les choses. J'aurais voulu comprendre... Poussant un nouveau soupir, je me levai de ma chaise et étirait mon dos endolori d'être si longtemps resté assis en face de mon ordinateur. Je me dirigeai vers la cuisine dans le but de me faire un café, puis avisant l'heure si tardive, j'optai plutôt pour préparer le repas. En général je préparais pour moi, et en mettais de côté au four micro onde pour ma sœur. Elle mangeait ce qu'elle voulait, et jetait le reste. Je sortis donc la poêle, des légumes, des nouilles et un peu de viande, optant pour la facilité que représentaient les nouilles sautées. Une fois le tout sorti je m'étais stoppé dans mon mouvement et j'avais fixé le ciel, j'ignorais qu'à ce moment ma petite sœur faisait plus ou moins pareil. Je fixais l'immensité noire et teintée de blanc qu'était le ciel, je me souviens que petite, Ahn Hae croyait que lorsqu'une étoile s'éteignait, c'est parce que son ampoule avait claquée, et elle me demandait souvent si je savais qui changerait cette ampoule. Je sortis de ma rêverie et commença ma préparation, j'entendis dans ma chambre mon téléphone sonner, m'indiquant qu'un message venait d'arriver, je finis donc ce que j'étais en train de faire, soit éplucher et couper les légumes avant d'aller le lire.Une fois dans ma chambre, le portable en main, je fus extrêmement surpris de l'expéditeur, en effet voir apparaître "Ahn Hae ♥ ~" sur mon écran, n'était pas arrivé depuis quelques semaines, cela me fit énormément plaisir, et peur à la fois. Je lus son message, il n'y avait rien d'alarmant, mais ne pu m'empêcher d'être inquiété. Pourquoi si soudainement alors qu'elle pouvait venir à la maison, pourquoi sur le toit de l'université, si tard ? Je fronçai mes sourcils derrière mes lunettes, au dessus de pull gris foncé, j'enfilai dans la précipitation un gilet en laine noir, très épais pour affronter le froid, et ne trouvant pas mon écharpe, renonçai à la mettre et prit la direction de la sortie, enfilant mes chaussures et enfonçant dans ma poche mon téléphone portable, laissant tout en plan pour aller retrouver ma cadette. Dans le métro qui m'emmenait à elle je répondis à son message. Yoo Him " Je serais bientôt là. Na do Saranghae ~ " Puis j'attendis que le métro me mène à bon port. Le campus avait un aspect particulier la nuit, comme un autre monde, une description sombre sortie d'un livre fantastique, oui il y avait ce quelque chose de surréaliste à l'université la nuit. J'empruntai les escaliers qui me menaient jusqu'au toi, et y trouvai le petit bout de femme qu'était devenue Ahn Hae. Je l'avais toujours vu comme quelqu'un de plutôt fort, mais ce soir, de la voir toute recroquevillée sur elle même, je revis le visage de cette petite fille au visage rond et à l'imagination débordante qui me demandait comment rallumer une étoile. J'oubliai même ma rancœur que j'avais plus ou moins ressenti avec son silence. Je restai néanmoins en retrait en regardant ma petite sœur qui se levait en avisant ma présence, pas parce que j'étais en colère, mais pour lui laisser de l'espace, c'est peut être ce qu'elle avait cherché non ? " - Ahn Hae ah... Tout va bien ? Pourquoi me donner rendez vous ici, tu aurais du rentrer chez nous, tu vas prendre froid ici." Chassez le grand frère inquiet, il revient au galop. Je fis un pas en sa direction, et plaçai mes mains sur chacun de des bras, plantant mon regard dans le sien, il y avait quelques chose dans ses yeux que je n'interprétait pas. Je frictionnai ses bras de mes mains pour la réchauffer, souriant tristement. " - Tu vois, tu es gelée." Je ne sais pas pourquoi je sentais que quelque chose n'allait pas, et je me sentais noué d'angoisse à l'intérieur, et j'aurais voulu que d'un sourire, elle essuie toutes mes angoisses, comme elle avait toujours réussit à le faire.
Dernière édition par Park Yoo Him le Dim 10 Oct - 12:01, édité 5 fois |
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